Ce qu’ils disent de Chari


“Let us not commercialise our Mission”, “I am away from Chariji made by his followers”, etc.
Les critiques sont fortes et viennent de toutes parts.

Dès 1970, le Docteur KC Varadachari s’inquiète auprès de Babuji de la dérive commerciale empruntée par la SRCM. Son fils, KC Narayana, quitte la Mission en 1991, reprochant à Chari de s’être autoproclamé représentant spirituel de Babuji. En 1995, Kasturi lui fait le même reproche, en ajoutant que les abhyasis sont les responsables de ce culte de la personnalité.
Michael, ancien précepteur américain, complète ces critiques par une analyse des conséquences que cela a engendré : une atmosphère de compétition individuelle pour gagner les faveurs du maître Chari, dans laquelle tous les moyens sont bons. Jean-François ajoute Babuji demandait amour et confiance, tandis que Chari réclame une obéissance aveugle et le service de la Mission. Clark Powell, comme Michael, s’offusque de la puissance du cercle rapproché de Chari qui a pris les rênes de l’organisation.
Après 20 ans de pratique, Madeleine démonte la légende du Sahaj marg qui affirme que la transmission n’existe qu’au sein de la SRCM, apportant les preuves qu’elle existe depuis des temps immémoriaux et se retrouve aujourd’hui dans de nombreux autres mouvements spirituels.
En 2005, renouant avec les craintes du Docteur Varadachari 35 ans plus tôt, Frank (Pays-Bas), Elodie (Suisse) et Christian (France) s’offusquent de la folle quête financière entreprise par Chari au détriment de la quête spirituelle : vente aux enchères pendant le satsang, un livre à 300 € annoncé comme la Bible du Sahaj marg, …

Liens :
- Retour vers Chari, ou l’industrialisation d’une spiritualité à l’Occidentale

- Kasturi, le Docteur Varadachari et son fils Narayana
- Michael, Jean-François, Clark et Madeleine
- Elodie, Frank et Christian