Babuji a rencontré son maître Lalaji 3 fois de son vivant. Il prétend qu’ensuite Lalaji s’est immergé dans son esprit au moment de sa mort en 1931. Il ajoute dans ses mémoires que Lalaji lui aurait dicté aussi son enseignement entre 1944 et 1945. Tout cela pour mieux le renier en 1963…
Lalaji lui même dit qu'il ne peut vraiment pas confier à Babuji la responsabilité de remplacer Madan Mohan Lal en tant que responsable du centre de Shahjahanpur (dans un courrier adressé à ce dernier le 9/12/1930) :
“… Because of your transfer from Shahjahanpur, there is a likelihood of the function being spoiled. So on my own behalf and on that of my elders, I invite the attention of Br. Pandit Rameshwar Prasad to agree to take up this work in hand during your absence. May God give him courage and perseverance. That dear one will, perhaps, establish a condition of honor after casting off that small portion of boyhood, which is very negligible in him now, due to the demands of his age. God may help him. Brother Ram Chandra undoubtedly has ability and agility in this respect, but I am sorry that due to restrictions of his father, narrowness of heart and space, and intricacies of his home, my sagacity did not permit me for the time being to throw the responsibility on him. …”
Kasturi, sainte du Sahaj marg, dit quant à elle que Lalaji n’a rien à voir avec l’enseignement du Sahaj marg. Selon elle, Lalaji le soufi a seulement prié pour la venue sur terre d’une Personnalité spéciale…
Dinesh Kumar Saxena, petit-fils de Lalaji, explique toutes les différences qui existent entre l’enseignement soufi de son grand-père et le Sahaj marg. Pour lui, ce sont les traducteurs de Babuji qui ont interprété ses rêves comme des intercommunications…
Liens :
Ce qu’ils en disent :
- Babuji
- Kasturi
- Dinesh
Autres sources :
- Témoignage de Madeleine